Top 14 – Toulouse : Pas de fracture pour Capuozzo, qui a passé des examens rassurants

Déjà privé d’Antoine Dupont jusqu’à la fin de la saison, le Stade Toulousain craignait d’avoir également perdu Ange Capuozzo pour un long moment. Ce ne sera heureusement pas le cas. Alors que les Rouge et Noir, l’entraîneur Ugo Mola en tête redoutaient une fracture à une cheville de leur jeune international italien après que celui-ci a quitté sur une civière la pelouse du stade Ernest-Wallon en fin de match, dimanche après-midi alors que son équipe tenait sa victoire (38-15 score final) face aux Anglais de Sale et du même coup son billet pour les quarts de finale de Champions Cup (NDLR : Les Toulousains affronteront Toulon), Capuozzo a passé dans la soirée des examens rassurants, nous apprennent ce lundi nos confrères de Midi Olympique. L’ailier (ou arrière) de 25 ans devrait donc pouvoir retrouver les terrains avant la fin de la saison. Quand ? Personne ne peut encore le dire. Une chose est sûre : le joueur qui fait partie de ceux capables de remplacer Dupont au poste de demi de mêlée – pour tout un match ou en cours de match, comme cela avait été le cas récemment lors du carton contre Perpignan – sera indisponible pendant plusieurs semaines.

Capuozzo absent entre quatre et six semaines ?

Les premières estimations, avancées là aussi par le « Midol », font état d’une absence de quatre semaines au moins et de six semaines au maximum. Une très bonne nouvelle pour Toulouse comme pour Capuozzo, l’un des joueurs les plus en formes des doubles champions de France en titre. L’Italien s’était d’ailleurs encore illustré dimanche en inscrivant un essai (son seul du match cette fois), précisément juste avant de se blesser, gravement croyait-on d’ailleurs à chaud. Avant de plonger dans l’en-but en conclusion d’un somptueux slalom dans la défense des Sharks, le feu-follet de la Squadra Azzurra avait en effet subi un plaquage qui laissait craindre le pire pour sa cheville. Souffrant finalement (et uniquement) d’une grosse entorse, Capuozzo, qui devra garder une botte pendant trois semaines, peut s’estimer très heureux. Toulouse également.